Danton a dit....
1789-1815 Les volontaires de la République :: Les batailles et grands personnages de la période 1789-1815. :: Les hommes de 1789 à 1815.
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Danton a dit....
En recherchant des informations je suis tombé sur un site qui donnait des citations de nos illustres hommes d'états et particulièrement de la période annoncé par ce forum de la Révolution Française à la fin du Premier Empire.
Donc je vais commencé par la révolution Française pour finir par notre Empereur....
Georges Danton:
- Est-ce qu’on emporte pas la patrie à la semelle de ses souliers ?
- Tu montreras ma tête au peuple ; elle en vaut la peine. (dit au bourreau)
- Il faut que tous les jours un aristocrate, un scélérat paye de sa tête ses forfaits.
- Je demande qu’on épargne le sang des hommes.
- Après le pain, le premier besoin du peuple c’est l’éducation.
- Quant à moi, je m’en ris. J’ai bien joui de la révolution ; j’ai bien fait du bruit sur la terre ; j’ai bien savouré ma vie ; allons dormir !
- Le tocsin qu’on va sonner n’est point un signal d’alarme, c’est la charge sur les ennemis de la patrie. Pour les vaincre, il nous faut de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace, et la France est sauvée.
- Ma demeure sera bientôt dans le néant, quant à mon nom, vous le trouverez dans le panthéon de l’histoire.
- Une nation se sauve, elle ne se venge pas.
- Bah, est-ce qu’on emporte sa patrie à la semelle de ses souliers ?
- Que la pique du peuple brise le sceptre des rois.
- Qui hait les vices, hait les hommes.
- C’est singulier, le verbe « guillotiner » ne peut pas se conjuguer dans tous ses temps. On peut dire : « Je serai guillotiné », « Tu seras guillotiné », mais on ne peut pas dire : « J’ai été guillotiné ».
Si quelques personnes en ont d'autres alors merci de les ajouter.

Donc je vais commencé par la révolution Française pour finir par notre Empereur....
Georges Danton:
- Est-ce qu’on emporte pas la patrie à la semelle de ses souliers ?
- Tu montreras ma tête au peuple ; elle en vaut la peine. (dit au bourreau)
- Il faut que tous les jours un aristocrate, un scélérat paye de sa tête ses forfaits.
- Je demande qu’on épargne le sang des hommes.
- Après le pain, le premier besoin du peuple c’est l’éducation.
- Quant à moi, je m’en ris. J’ai bien joui de la révolution ; j’ai bien fait du bruit sur la terre ; j’ai bien savouré ma vie ; allons dormir !
- Le tocsin qu’on va sonner n’est point un signal d’alarme, c’est la charge sur les ennemis de la patrie. Pour les vaincre, il nous faut de l’audace, encore de l’audace, toujours de l’audace, et la France est sauvée.
- Ma demeure sera bientôt dans le néant, quant à mon nom, vous le trouverez dans le panthéon de l’histoire.
- Une nation se sauve, elle ne se venge pas.
- Bah, est-ce qu’on emporte sa patrie à la semelle de ses souliers ?
- Que la pique du peuple brise le sceptre des rois.
- Qui hait les vices, hait les hommes.
- C’est singulier, le verbe « guillotiner » ne peut pas se conjuguer dans tous ses temps. On peut dire : « Je serai guillotiné », « Tu seras guillotiné », mais on ne peut pas dire : « J’ai été guillotiné ».

Si quelques personnes en ont d'autres alors merci de les ajouter.
Pied Rouge
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